Sortir du cadre connu
· Pratiquer les arts plastiques pour expérimenter le lâcher prise
Je ne soupçonnais pas ,en démarrant des activités de peinture et d'arts plastiques que ceci m'entraînerait vers des découvertes inédites
J'appris ainsi à mieux écouter mes voix intérieures et à faire taire une voix critique qui me rappelait que je n'étais pas un artiste.
J'appliquais donc quelques règles du type :" je m'interdis de me comparer à d'autres et je juge mes réalisations à l'aulne de ma satisfaction".
En travaillant régulièrement sur des thèmes tels que le cycle de la vie, richesse et pauvreté, le mouvement, ma couleur préférée, l'arbre... je découvris le cheminement chaotique de la création, tantôt lente gestation, tantôt action fulgurante, instantanée, définitive ; j'appris l'infinité des possibilités, leurs seules limites étant dans la capacité de réalisation.
La confrontation avec les solutions trouvées en atelier avec mes autres collègues générait de nouvelles pistes, des ouvertures, pour aboutir au résultat final.
Accepter de ne pas savoir où m' entraine mon pinceau, laisser l'agencement des matières se faire, n'écouter que le geste qui entraîne l’action, qui génère des images et des idées nouvelles, qui accompagne le geste et ainsi de suite en boucle.. En laissant aller librement mon bras, en laissant mon corps même se mobiliser, j' appris à lâcher-prise, à m'engager sans crainte vers l'inconnu ».
J'appris enfin la bienveillance avec moi-même ne me préoccupant plus de savoir si l'oeuvre produite est artistique ou professionnelle mais considérant le plaisir procuré, la libération de mon énergie
Je ne soupçonnais pas ,en démarrant des activités de peinture et d'arts plastiques que ceci m'entraînerait vers des découvertes inédites
J'appris ainsi à mieux écouter mes voix intérieures et à faire taire une voix critique qui me rappelait que je n'étais pas un artiste.
J'appliquais donc quelques règles du type :" je m'interdis de me comparer à d'autres et je juge mes réalisations à l'aulne de ma satisfaction".
En travaillant régulièrement sur des thèmes tels que le cycle de la vie, richesse et pauvreté, le mouvement, ma couleur préférée, l'arbre... je découvris le cheminement chaotique de la création, tantôt lente gestation, tantôt action fulgurante, instantanée, définitive ; j'appris l'infinité des possibilités, leurs seules limites étant dans la capacité de réalisation.
La confrontation avec les solutions trouvées en atelier avec mes autres collègues générait de nouvelles pistes, des ouvertures, pour aboutir au résultat final.
Accepter de ne pas savoir où m' entraine mon pinceau, laisser l'agencement des matières se faire, n'écouter que le geste qui entraîne l’action, qui génère des images et des idées nouvelles, qui accompagne le geste et ainsi de suite en boucle.. En laissant aller librement mon bras, en laissant mon corps même se mobiliser, j' appris à lâcher-prise, à m'engager sans crainte vers l'inconnu ».
J'appris enfin la bienveillance avec moi-même ne me préoccupant plus de savoir si l'oeuvre produite est artistique ou professionnelle mais considérant le plaisir procuré, la libération de mon énergie